oici le cas le plus ahurissant où la volonté d'expliquer une observation, de façon stupide et sans tenir compte des déclarations du témoin, est mise en évidence,
le cas de Champagne-Mouton le 3 octobre 1983 en Charente :
" Observation d'une sphére lumineuse.
Description détaillée: Le 31 octobre 1983 vers 18h 45 un témoin alerté par les aboiements inhabituels de son chien, aperçoit par le fénêtre et malgré la nuit et le brouillard épais une lumière intense "grande comme une roue de tracteur" qui évolue lentement et disparaît très rapidement derrière un rideau de peupliers situés au bord de la rivère. Le lendemain matin sur les indications de direction du témoin, un peuplier de 25 mètres de haut est retrouvé cassé à une hauteur de 8 mètres : la partie supèrieure est retrouvée au sol parmi la végétation sauvage et la cassure se présente de deux façons distinctes. L'arbre sain présente une première cassure franche jusqu'au centre du tronc suivie d'une déchirure du bois sur deux mètres environ. Le résultat des analyses montre un consensus sur le fait que l'arbre était probablement attaqué de longue date par des champignons qui l'ont progressivement dégradé sans que l'aspect extérieur de l'arbre soit modifié. Lorsque la dégradation a atteint le milieu de l'arbre, l'équilibre de celui-ci a été compromis et il a pu tomber sous l'effet d'une pression minime. Ce phénomène est renforcé par l'effet des vents dominants qui provoque un effet de fatigue en général situé etre 4 et 5 mètres de hauteur, facilitant ainsi l'apparition de champignons destructeurs. La zone brunâtre et la couche d'écorce cicatricielle trouvée au niveau de la rupture sont cohérentes avec cette hypothèse. Concernant la lumière vive, un des laboratoire consulté propose une explication.
Il existe en effet dans la nature de nombreuses espèces d'organismes luminescents et parmi eux de nombreux champignons. Ces organismes peuvent émettre des lumières intenses permettant d'éclairer une pièces ou de se diriger dans le noir. L'hypothèse avancée est que le tronc de l'arbre, colonisé par ce type d'organismes ait pu au moment de sa rupture mettre au jour ces organismes qui ont provoqué une lueur importante pendant un certain temps, lueur qu'à pu apercevoir le témoin sans pouvoir l'interpréter."
LE RAPPORT GEIPAN
Le PV d'audition avec les photos de l'arbre et des lieux en pdf
ces rapports du CNES constituent une mine phénoménale d'explications bidon, ce qui remet en cause la classe A, B, C ou D attribuée arbitrairement à chaque cas, leurs statistiques seraient alors complétement fausses..
source.
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