vendredi 4 mars 2011

Annie Girardot est morte.




Le réalisateur Claude Lelouch a salué lundi après-midi la mémoire d'Annie Girardot, décédée le même jour à Paris. Celui qui l'a dirigé dans Les Misérables, un film qui valut à l'actrice le César du meilleur second rôle féminin en 1996, parle de son «plus beau souvenir de metteur en scène et d'homme». 
 «Peut-être la plus grande actrice du cinéma français de l'après-guerre», s'est-il interrogé.Bertrand Blier s'est s'est souvenu avec émotion d'une personne «tellement drôle et douloureuse à la fois».
Claude Pinoteau, qui l'a dirigée dans La Gifle, avec Lino Ventura, a évoqué sur BFM TV «une femme extrêmement attachante car simple». « Une comédienne rare car populaire et à la portée de tout le monde», a-t-il ajouté.
«Un peu comme Jeanne Moreau, ce sont des filles qui au départ n'étaient pas du tout destinées à jouer de premiers rôles et puis brusquement, à cause de leur talent et de leur persévérance, elles sont arrivées à devenir des stars à part entière», a souligné le réalisateurJean-Pierre Mocky sur BFM TV.
Élie Chouraqui, a rappelé sur i-Télé que Girardot portait «énormément d'émotion en elle, quelque chose de bouleversant dans la voix, dans le regard. Quelque chose qui bouleversait le cœur».
Le réalisateur et metteur en scène Robert Hossein a rendu hommage sur RTL à «une colossale et magnifique actrice d'une générosité, d'une présence, d'un tempérament, d'une nature originale et vraiment extraordinaire».





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