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mercredi 16 février 2011
Pas de Neandertal en nous!
Notre espèce, Homo sapiens, serait apparue il y a 100 000 à 200 000 ans. C'est du moins l'âge attribué à la femme qui portait le plus récent ancêtre commun des mitochondries de nos cellules (organites d'origine uniquement maternelle, qui contiennent de l'ADN), et à l'homme qui portait le plus récent ancêtre de nos chromosomes Y. L'homme moderne aurait ensuite entamé un voyage hors de son Afrique natale pour peupler les autres continents, supplantant les populations humaines préexistantes.
Toutefois, la présence de lignées beaucoup plus anciennes de gènes, cette fois sur le chromosome X et les chromosomes non sexuels, a conduit certains scientifiques à invoquer une hybridation entre Homo sapiens et des populations locales « archaïques », tel l'homme de Neandertal, en Europe et en Asie. Seule une telle hybridation était à même, pensait-on, de rendre compte de la présence de ces gènes anciens dans notre génome.
Michael Blum, chercheur du CNRS à Grenoble, et Mattias Jakobsson, de l'Université d'Uppsala, en Suède, réfutent aujourd'hui ce scénario et proposent deux autres explications. Ils invoquent d'une part un morcèlement de la population africaine initiale en groupes isolés génétiquement, et d'autre part la pression exercée par l'environnement sur les populations africaines il y a environ 150 000 ans.
Ces deux bio-informaticiens ont cherché à identifier, grâce à des simulations numériques, les modèles d'évolution humaine compatibles avec les âges des ancêtres communs des différentes parties de notre génome. Leur étude confirme les estimations antérieures de l'âge des plus récents ancêtres communs pour le chromosome X et les chromosomes non sexuels à 1 à 1,5 million d'années.
Surtout, les chercheurs ont montré que l'hypothèse du métissage ne pouvait, à elle seule, expliquer les données génétiques. Dès lors, comment rendre compte de l'écart considérable entre l'âge de 1 à 1,5 millions d'années et celui déterminé à partir de l'ADN mitochondrial et le chromosome Y ? Les chercheurs avancent deux hypothèses.
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