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Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a estimé samedi que le président américain Barack Obama avait commis un "grave erreur" en accusant Téhéran d'avoir caché l'existence d'une deuxième usine d'enrichissement d'uranium.
"M. Obama a commis une grave erreur, une erreur historique, alors que, en vertu des règles, nous avions fait l'annonce un an avant la date où nous devions le faire, par respect de la loi et du directeur général de l'AIEA, et naturellement les Etats-Unis devaient le savoir. Je ne sais pas pourquoi M. Obama n'était pas au courant", a-t-il déclaré.
Ces commentaires interviennent juste avant l'arrivée en Iran du chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Mohamed ElBaradei, pour discuter justement de cette installation située près de la ville sainte chiite de Qom.
ElBaradei a récemment jugé que Téhéran était "du mauvais côté de la loi" au sujet de cette usine, dont l'existence aurait selon lui dû être annoncé dès que la décision de la construire a été prise, position soutenue par Washington.
La partie iranienne affirme de son côté avoir respecté ses engagements en révélant son existence à l'AIEA le 21 septembre, et avancent qu'ils n'étaient même pas contraints à le faire aussi tôt, alors que l'usine ne sera pas opérationnelle selon eux avant 18 mois. AP
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a estimé samedi que le président américain Barack Obama avait commis un "grave erreur" en accusant Téhéran d'avoir caché l'existence d'une deuxième usine d'enrichissement d'uranium.
"M. Obama a commis une grave erreur, une erreur historique, alors que, en vertu des règles, nous avions fait l'annonce un an avant la date où nous devions le faire, par respect de la loi et du directeur général de l'AIEA, et naturellement les Etats-Unis devaient le savoir. Je ne sais pas pourquoi M. Obama n'était pas au courant", a-t-il déclaré.
Ces commentaires interviennent juste avant l'arrivée en Iran du chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Mohamed ElBaradei, pour discuter justement de cette installation située près de la ville sainte chiite de Qom.
ElBaradei a récemment jugé que Téhéran était "du mauvais côté de la loi" au sujet de cette usine, dont l'existence aurait selon lui dû être annoncé dès que la décision de la construire a été prise, position soutenue par Washington.
La partie iranienne affirme de son côté avoir respecté ses engagements en révélant son existence à l'AIEA le 21 septembre, et avancent qu'ils n'étaient même pas contraints à le faire aussi tôt, alors que l'usine ne sera pas opérationnelle selon eux avant 18 mois. AP
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