Le niveau des mers qui montent est une colossale histoire pour faire peur

Source : Telegraph.co.uk via SOTT.net, trad. Jsf)

Le verdict sans appel du D^r Mörner déclare que toutes ces histoires de montée du niveau de la mer ne sont rien d’autres qu’une colossale histoire pour faire peur.

Si une chose, plus que toute autre, est utilisée pour justifier les projets anti-réchauffement climatique que la planète doit financer à coup de billions de dollars, c’est de croire que nous risquons une élévation désastreuse du niveau de la mer. On nous dit que les calottes polaires de l’Antarctique et du Groenland vont fondre, que les océans vont s’étendre, et que le résultat en sera catastrophique.

Bien que le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) prédit une élévation du niveau de la mer de seulement 59 cm (17 inches) en 2100, Al Gore et son film Une Vérité Qui Dérange (Oscar du meilleur documentaire) sont allés beaucoup plus loin, parlant de 6 mètres (20 pieds), et montrant des graphiques informatiques de villes comme Shanghai et San Francisco à moitié sous l’eau. Nous connaissons tous l’image montrant le centre de Londres dans la même situation. Quant aux nations insulaires, les Maldives et Tuvalu par exemple, le Prince Charles et l’archevêque de Canterbury ont aimé redire la semaine dernière tels des perroquets qu’elles sont vouées à disparaître.

Mais s’il y a un scientifique qui en sait plus sur les niveaux de la mer que quiconque dans le monde c’est le géologue et physicien suédois Nils-Axel Mörner, ancien directeur de la Commission Internationale sur le Changement du Niveau de la Mer (INQUA). Et le verdict sans appel du D^r Mörner, qui a utilisé pendant 35 ans toutes les méthodes scientifiques connues pour étudier les niveaux de la mer partout dans le monde, est que tous ces discours sur la montée du niveau de la mer ne sont rien d’autre qu’une énorme histoire pour faire peur.

Malgré les fluctuations de montée et de descente, " la mer ne monte pas ," dit-il. " Elle n’a pas monté en 50 ans ." S’il y a une quelconque montée durant ce siècle ce ne sera "pas plus de 10 cm, avec une marge d’incertitude de plus ou moins 10 cm". Et sans même parler de l’examen des faits réels, continue-t-il, les lois élémentaires de la physique (la chaleur latente nécessaire pour faire fondre la glace) nous disent que l’apocalypse évoquée par Al Gore et Cie ne pourra pas arriver.

La raison pour laquelle le D^r Mörner, ancien professeur à Stockholm, est si sûr de ces déclarations sur la montée du niveau de la mer sont à 100 pour cent fausses c’est qu’elles se basent sur des prédictions modélisées par ordinateur, alors que ses propres découvertes se basent sur "l’observation sur le terrain de ce qui se passe vraiment dans le monde réel".

Durant la Commission Internationale sur le Changement du Niveau de la Mer, il a lancé un projet spécial sur les Maldives, leurs dirigeants ayant appelé depuis 20 ans à de vastes sommes d’aide internationale pour parer au désastre. Lui et son équipe d’experts ont visité six fois les îles, pour confirmer que la mer n’avait pas monté depuis un demi-siècle. Avant d’annoncer ses découvertes, il a offert de montrer aux habitants un film expliquant pourquoi ils n’ont rien à craindre. Le gouvernement a refusé sa diffusion.

De même à Tuvalu, où les dirigeants locaux ont annoncé aux habitants qu’ils devaient être évacués dans 20 ans, la mer n’a fait que chuter au cours des dernières décennies. Le seul élément que les alarmistes peuvent évoquer se base sur le fait qu’extraire l’eau du sous-sol pour la culture des ananas a permis à l’eau de mer de s’infiltrer pour la remplacer. Et pendant ce temps, Venise s’est plutôt enfoncé d’elle-même que l’Adriatique n’a monté, a dit le D^r Mörner.

L’une de ses découvertes les plus frappantes a été pourquoi le GIEC pouvait montrer que le niveau de la mer a monté de 2.3 mm par année. Jusqu’en 2003, ses propres données satellites ne montraient aucune tendance à la hausse. Mais soudainement le graphique a présenté une hausse parce que les experts favoris du GIEC se sont calqués à un seul marégraphe du port de Hong Kong qui signale une montée de 2.3 mm. Toute la projection mondiale du niveau de la mer a été ensuite ajustée vers le haut avec un "facteur de correction" de 2.3 mm, parce que comme les scientifiques du GIEC l’ont admis, ils "avaient besoin d’une tendance à la hausse".

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