Pour ma part, j'y vois un bien, ma région nord pas de calais est depuis fort longtemps à gauche.Vous l'avez "peut-être" remarqué, le monde a subit une crise incroyablement puissante, la France est un des rares pays à peu ou pas avoir était touché mais il n'empêche que comme moi dans mon travail de management, lorsque dehors ça va très mal et pas chez toi, tu te dis, il faut prévoir que le mal me touche, un homme avertit en vaut deux.D'où si j'avais était un responsable politique de la CUDL, pas d'augmentation des impôts pour ne pas affaiblir la région et remboursement de la dette anticipée quitte à sacrifier quelques projets sommes toutes fort peu préssés et pressant.Hé bien chez les Chti's, quand dehors TOUT VA MAL, la Aubry elle augment de 8% les impôts.Aubry, quand tout ira bien, tu feras quoi?Ah oui, comme à ton habitude, tu augmentera les impôts sur ceux qui travaille pour engraisser les parasites qui votent pour toi.Dehors la Aubry.Internaaze.
Alors que le gouvernement dit vouloir simplifier les différentes représentations territoriales, les élus de droite et de gauche, déjà très mécontents de la suppression de la taxe professionnelle, leur principale source de revenus, craignent un recul de la décentralisation. Pour le gouvernement, c'est aussi une question de coûts.
"Je porterai dès cet automne avec le Premier ministre une réforme ambitieuse des collectivités territoriales qui conduira à la diminution par deux du nombre des élus de notre territoire", avait déclaré le chef de l'Etat début octobre devant des chefs d'entreprise, soulignant que les collectivités "dépensent 200 milliards d'euros par an" et que, "hors transfert de compétences, leur part dans le PIB a progressé de plus de 20% en 30 ans".Comme il l'avait déjà annoncé, le président devrait donc entériner mardi à Saint-Dizier (Haute-Marne) la création des conseillers territoriaux qui siégeront à la fois dans les régions et dans les départements, faisant passer le nombre d'élus de 6.000 à 3.000. "Et ce que je demande aux collectivités territoriales s'imposera bien évidemment aux administrations", a prévenu Nicolas Sarkozy.
Si le rapport du comité présidé par l'ancien Premier ministre Edouard Balladur avait suggéré la suppression de sept des 22 régions, le chef de l'Etat devrait se contenter de suggérer le regroupement de certaines régions sur la base du volontariat. Il vise notamment les deux Normandies. Il devrait également consacrer le statut de métropole régionale à partir de 450.000 habitants, comme Lyon ou Strasbourg.
La réforme, qui doit être présentée dès mercredi en Conseil des ministres, prévoit également les regroupements de services entre municipalités et la fin de la clause de "compétence générale" permettant aux régions et départements d'intervenir dans tous les domaines.
Outre la suppression de la moitié des élus, c'est surtout le mode de scrutin envisagé -à un tour, uninominal avec une petite dose de proportionnelle- qui hérisse l'opposition socialiste qui détient actuellement 20 des 22 régions. Elle voit une manoeuvre destinée à affaiblir une opposition souvent multiple au premier tour au détriment de l'UMP, souvent bien positionnée au premier tour mais disposant de faibles réserves de voix au second.
Mais le projet inquiète aussi à droite comme l'a reconnu le secrétaire général de l'UMP. "Oui, il y a des débats, et c'est vrai et c'est sain", a admis Xavier Bertrand dimanche sur i>télé. "Mon rôle, c'est d'avoir des débats et au bout d'un moment qu'il y ait ensuite une ligne, qu'il y ait justement une véritable vision politique", a-t-il ajouté, annonçant que les militants du parti majoritaire seraient appelés à se prononcer sur le projet de réforme lors d'un vote interne. AP
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