La grippe « espagnole » de 1918 fut en fait d’origine états-unienne.
Née dans les camps militaires de la première guerre mondiale, elle résultait d’une campagne de vaccination par les laboratoires Rockefeller et de l’injection aux soldats (des deux camps) de vaccins contre la typhoïde produits depuis 1916 dans des usines chinoises par l’injection à des porcs de pus récolté sur des personnes infectées. Les soldats tombaient malades après l’injection, d’une maladie initialement baptisée « infection para typhoïque ».caractérisée par des nausées, vomissements, diarrhées, et pneumonies mortelles. La maladie s’est ensuite répandue dans le monde entier, tuant 20 à 50 millions de personnes, 40 millions selon l’OMS. Ce n’est que plus tard que l’establishment médical a faussement baptisé « grippe espagnole » le virus recombinant mortel répandu par le vaccin de l’empire pharmaceutique Rockefeller. (source : The horrors of vaccinations – Higgins, 1921)
Après l’analyse d’un tissus pulmonaire d’une victime de la pandémie de 1918, conservé dans du formol, le Dr Jeffrey Taubenberger a rendu public un rapport selon lequel le virus de la pandémie de 1918 était en fait un nouveau virus porcin recombiné avec des fragments de virus aviaire (H5N1) et humains (H3N2) dans la structure même de leur ARN. (source : Science Magazine Report, 21 mars 1997)
Le Dr Taubenberger serait ensuite parvenu à reproduire en laboratoire le « tueur de 1918 » par recombinaison des structures ADN et ARN, en 2003.
La soi-disant « grippe porcine » ayant infecté et tué des être humains à Mexico au cours de ce printemps 2009 est un nouveau type de sous virus A/H1N1 qui n’avait jamais été détecté chez des porcs ni chez des humains, comme l’ont confirmé l’OMS et le CDC (centre de contrôle des maladies d’Atlanta). Il s’agit d’un triple recombinant comprenant des segments de gènes d’origine humaine, porcine et aviaire. (source : http://www.ncsl.org/ ?tabid=17089 )
Cette définition publiée par le NCSL (bureaucratie de décideurs politiques non élus liée à l’administration Bush) est identique aux premières découvertes de Taubenberger de 1997, qui ont permis de ressusciter le « virus de 1918 » six années plus tard.
Il s’agit très certainement d’une coïncidence.
On relève également trace en 1976 d’une contamination de grippe porcine (référencée H1N1) apparue à Fort Dix (New Jersey) – donc également dans un camp militaire états-unien - avec le décès post vaccinatoire de 200 soldats. Elle résulte vraisemblablement d’une expérimentation par un laboratoire militaire.
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