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Selon les tenants du catastrophisme et de la fin du monde, les Mayas auraient prévu la fin du monde pour le 21 décembre 2012.

Le gouvernement guatémaltèque n'est pas d'accord, et le fait savoir, avec de la publicité, se penchant sur les fameux calendriers mayas. "Si, dans la tradition maya, cette date indique un changement radical, elle est surtout synonyme d'évolution spirituelle vers une nouvelle civilisation", précise la campagne d'information visant à attirer les touristes au "coeur du monde maya" pour mieux le comprendre au lieu de s'y méprendre, le Guatemala. Comme avant-goût du mystère de 2012, le Musée du quai Branly, à Paris, propose jusqu'au 2 octobre, une exposition au titre frissonnant : "Maya, de l'aube au crépuscule", en référence aux malheurs de cette civilisation méso-américaine - apparue à la fin du IIIe millénaire avant notre ère -, qui a plusieurs fois sombré pour renaître. Subissant désastres écologiques ou ravages guerriers ont eu raison de l'intelligence maya par deux fois - en l'an 150, et en 900.
Le gouvernement guatémaltèque n'est pas d'accord, et le fait savoir, avec de la publicité, se penchant sur les fameux calendriers mayas. "Si, dans la tradition maya, cette date indique un changement radical, elle est surtout synonyme d'évolution spirituelle vers une nouvelle civilisation", précise la campagne d'information visant à attirer les touristes au "coeur du monde maya" pour mieux le comprendre au lieu de s'y méprendre, le Guatemala. Comme avant-goût du mystère de 2012, le Musée du quai Branly, à Paris, propose jusqu'au 2 octobre, une exposition au titre frissonnant : "Maya, de l'aube au crépuscule", en référence aux malheurs de cette civilisation méso-américaine - apparue à la fin du IIIe millénaire avant notre ère -, qui a plusieurs fois sombré pour renaître. Subissant désastres écologiques ou ravages guerriers ont eu raison de l'intelligence maya par deux fois - en l'an 150, et en 900.
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