Cette graisse peut doubler votre risque de décès par maladie (cardiopathie) coronarienne. Il s'agit d'une des plus grandes études de ce type et elle a trouvé que les gens qui ont une cardiopathie coronarienne et qui avaient ne serait-ce qu'un modeste « bidon » avaient plus de risques de décès que les gens qui avaient la graisse distribuée ailleurs. Le plus surprenant est que l'effet est notable même chez les gens qui ont un indice IMC normal. Ce risque est équivalent à celui que pose la consommation d'un paquet de cigarettes par jour ou d'avoir un très fort taux de cholestérol, en particulier chez les hommes.

Cette étude invalide du coup d'anciennes études qui avaient trouvé un « paradoxe de l'obésité » : des statistiques qui montraient que des gens qui avaient un indice IMC élevé et des maladies chroniques comme la cardiopathie coronarienne avaient de meilleures chances de survie que d'autres personnes qui avaient un IMC plus faible. Dans ce cas, l'IMC est un mauvais paramètre : c'est la distribution de graisse qui compte. La graisse abdominale est plus active et dangereuse de manière générale.
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Cette étude invalide du coup d'anciennes études qui avaient trouvé un « paradoxe de l'obésité » : des statistiques qui montraient que des gens qui avaient un indice IMC élevé et des maladies chroniques comme la cardiopathie coronarienne avaient de meilleures chances de survie que d'autres personnes qui avaient un IMC plus faible. Dans ce cas, l'IMC est un mauvais paramètre : c'est la distribution de graisse qui compte. La graisse abdominale est plus active et dangereuse de manière générale.
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