vendredi 18 mars 2011

EPR la sécurité nucléaire Française.



Après la catastrophe de Tchernobyl, les dispositifs pour améliorer la sûreté d'un EPR ont été multipliés. Quatre circuits indépendants dont chacun, isolément, peut assurer le refroidissement.

La cruauté de l'histoire conduit parfois à des retournements de veste peu glorieux. «Le réacteur EPR est invendable!», pestait un ministre français il y a quelques mois, en privé, après l'échec de la vente de la centrale française aux Émirats arabes unis. Areva aurait dû le faire évoluer au lieu d'accumuler des dispositifs passifs et redondants hérités du partenariat historique avec Siemens.» Handicaps commerciaux hier, ces «dispositifs redondants», à l'aune de la catastrophe de Fukushima, deviennent soudain des atouts vantés par Nicolas Sarkozy en personne. L'EPR, réacteur dit de troisième génération, est une version évoluée des réacteurs à eau sous pression (REP) du parc d'EDF, directement héritée de Tchernobyl. Après la catastrophe soviétique de 1986, Siemens, alors partenaire de Framatome, futur Areva, poussé par les autorités allemandes, a multiplié les dispositifs pour améliorer la sûreté de la centrale.


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