mercredi 19 janvier 2011

Sharon Stone sex-symbol.

Elle avait obtenu quatorze millions de dollars pour croiser et décroiser une nouvelle fois ses jambes. Au bout,   « Basic instinct 2 », n'était qu'une chose bien prétentieuse. Ce qui était caché dans le film de Paul Verhoeven, le pic à glace et la petite culotte de Catherine Tramell, devenait d'une banalité déconcertante. A Paris, la blonde sulfureuse, du haut de son Q.I. de 154, relativisait :   « Basic instinct 2 n'est qu'un film...».

Or, vendredi dans une fin d'après-midi parisienne morose, quand l'idée d'un   « Basic instinct » est montée au cerveau d'un confrère de la presse pipeau(l), la star la plus glamour d'Hollywood a envoyé l'effronté dans les cordes. N'empêche, son arrivée dans le deuxième épisode de   « Largo Winch », n'est peut-être pas anodin. Qu'interprétant une procureur près le Tribunal pénal international, elle interroge le séduisant Largo, assise sur son bureau, balançant ses jambes croisées sous les yeux de son suspect, le rapprochement avec   « Basic Instinct » n'aura échappé à personne. Sharon Stone resterait donc prisonnière de son destin de sex symbol.

 

« J'aurais aimé

être pompier »


« Qu'à mon âge quelqu'un me qualifie de sex symbol, c'est formidable », lancera guillerette la star. Pour le reste, le fameux clin d'oeil dont toute la presse va parler,   « tant de gens y font référence, et étant donné que cela fait partie de mon patrimoine, je suis contente de savoir que cela est drôle et rend le film plus divertissant ». Et puis, ajoute-t-elle,   « le client a toujours raison ». Après un congé sabbatique de trois années, durant lesquelles elle s'est surtout occupée de ses trois enfants, 4, 5 et 10 ans, Sharon Stone revient sur les plateaux de tournage par la France.

LA SUITE


Sharon Stone sex-symbol du cinéma... français


L'indépendant.com



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