L’épilogue du feuilleton : et s’il s’agissait de sauver la face c’est à peu près réussi pour Jacques Camus dans la République du Centre, mais s’il s’agissait de sauver les droits des artistes, pour lui, c’est une autre affaire... Car il souligne que la nouvelle loi à peine votée est déjà menacée par un recours devant le Conseil constitutionnel, par la législation européenne et par les technologies déjouant par avance les futurs contrôles. Bref pour la République du Centre, autant rebaptiser la loi Hadopi et l’appeler par son vrai nom, "lignemaginot.com". Une variante dans le Progrès où Francis Brochet se montre tout aussi sceptique : une loi promise à l’annulation, et de toute façon inapplicable, pour le Progrès, la loi Hadopi, c’est un OVNI, un objet voté non identifié...
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