jeudi 19 janvier 2023

Les Barjols: des survivalistes terroristes qui voulaient assassiner MACRON ?


La France a été choquée par la révélation d'une conspiration visant à assassiner le président de la République en 2018. Treize personnes ont été arrêtées pour avoir préparé des actions violentes, dont un projet d'attaque contre Emmanuel Macron. Ces individus se sont organisés via un groupe Facebook créé en 2017, qui s'est ensuite transformé en une association déclarée en préfecture en 2018. Ce groupe, dirigé par un ancien militant d'extrême droite, a diffusé des idéologies anti-migrants, anti-islam et antisémites, ainsi que des théories du complot. Ils ont également organisé des entraînements paramilitaires. Ce groupe comptait plus de 5 000 membres à son apogée, mais il n'est plus actif aujourd'hui. Ce genre de conspiration rappelle l'importance de rester vigilant contre la haine et la violence.

La France a été choquée par la révélation d'une conspiration visant à assassiner le président de la République en 2018. Treize personnes ont été arrêtées pour avoir préparé des actions violentes, dont un projet d'attaque contre Emmanuel Macron. Ces individus se sont organisés via un groupe Facebook créé en 2017, qui s'est ensuite transformé en une association déclarée en préfecture en 2018. Ce groupe, dirigé par un ancien militant d'extrême droite, a diffusé des idéologies anti-migrants, anti-islam et antisémites, ainsi que des théories du complot. Ils ont également organisé des entraînements paramilitaires. Ce groupe comptait plus de 5 000 membres à son apogée, mais il n'est plus actif aujourd'hui. Ce genre de conspiration rappelle l'importance de rester vigilant contre la haine et la violence.


L'arrestation de Jean-Pierre Bouyer en novembre 2018 a suscité l'inquiétude de la population et des autorités. Les services de renseignement ont arrêté Bouyer, un individu lié à un groupe extrémiste, et trois de ses complices en Moselle. Les enquêteurs ont découvert un poignard et du matériel commando dans son véhicule, ce qui a suscité des inquiétudes quant à une possible action violente contre le président de la République, qui devait visiter la région le jour même.

Cette arrestation a révélé les liens entre certains individus extrémistes et les mouvements sociaux en France. Le groupe auquel appartenait Bouyer était connu pour diffuser des idéologies xénophobes, racistes et anti-sémites sur les réseaux sociaux. Ils ont également organisé des entraînements paramilitaires et ont été impliqués dans des activités illégales.

Suite à cette arrestation, le groupe extrémiste a été bouleversé et son leader, Denis Collinet, s'est engagé dans le mouvement des Gilets jaunes. Cela a conduit certains à se demander si cette arrestation n'était en fait qu'un prélude au mouvement des gilets jaunes qui a éclaté quelques semaines plus tard.

Il est important de noter que les Gilets jaunes sont un mouvement social légitime qui a émergé en réponse à des problèmes économiques et sociaux réels. Cependant, il est crucial de rester vigilant contre les individus extrémistes qui cherchent à utiliser ces mouvements sociaux pour propager leur haine et leur violence. Les autorités doivent prendre des mesures pour empêcher ces individus de nuire à la société et de mettre en danger les citoyens pacifiques qui cherchent à exprimer leurs revendications légitimes.


En 2018, des individus liés à un groupe extrémiste ont été arrêtés pour avoir préparé des projets criminels, dont un projet d'attaque contre le président de la République. Les autorités ont découvert des armes à feu, des manuels de fabrication d'explosifs et des propos inquiétants lors des perquisitions. Cependant, il est important de noter que ces projets criminels étaient encore très embryonnaires. Le Parquet a choisi de poursuivre ces individus pour "association de malfaiteurs terroriste délictuelle" plutôt que pour terrorisme, ce qui reflète l'état peu avancé de ces projets.

Malgré cela, certains des individus impliqués dans ces projets ont des profils qui ont inquiété les enquêteurs. Par exemple, un collectionneur d'armes fasciné par le nazisme qui a affirmé sur les réseaux sociaux qu'il ferait sauter une mosquée, ou un quadragénaire qui a reconnu avoir cherché à se procurer des armes mais a nié tout projet d'attaque contre le président. Ces cas rappellent l'importance de rester vigilant contre la haine et la violence.


Au premier jour du procès du groupe d'ultradroite des "Barjols", les accusations de projets terroristes ont été abordées. Le tribunal a interrogé l'un de ses membres les plus extrémistes, Mickaël Iber, âgé de 43 ans. Son passé et sa dérive idéologique ont été mis en lumière, malgré ses affirmations se déclarant non-violent et ami avec des musulmans. Les magistrats ont également souligné les propos incitant à l'insurrection tenus par ce groupe d'ultradroite, rappelant l'importance de condamner toutes formes de violence et de haine. Avant même d'entendre les témoignages des membres du groupe d'ultradroite des "Barjols", le président du tribunal, Thomas Jouck, a voulu clarifier que le jugement ne sera pas influencé par des considérations religieuses, politiques ou morales. Il a rappelé que la justice est indépendante et que seul le droit sera pris en compte dans ce procès. Cela montre l'importance de maintenir l'impartialité de la justice et de garantir que les verdicts sont basés uniquement sur les faits présentés devant le tribunal et non sur des préjugés ou des influences extérieures.

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