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Il y a 31 ans, Renato Niccolaï voyait un engin ressemblant étrangement à une soucoupe volante, se poser dans son jardin à trans-en-Provence.
Un témoignage pris au sérieux par le monde ufologique mais aussi par les gendarmes qui ont enquêté sur cette affaire. Jusqu’à aujourd’hui l’OVNI de Trans-en-Provence reste un mystère toujours inexpliqué.
Renato Niccolaï, aujourd’hui, âgé de 84 ans revient sur les lieux où s’est produit le phénomène.
Des traces de ripage
Charles Clairici, mémoire vivante de la cité dracénoise, se souvient évidemment de ce jour : «Cette affaire a fait du ramdam. Les analyses d’époque ont confirmé la trace de ripage de pneumatiques lors du décollage, comme le laissent les réacteurs.»
Renato Niccolaï, lui, repense encore aux allées et venues incessantes de journalistes intéressés par ce dossier. «Ça faisait longtemps que l’on n’était pas venu me voir», sourit l’octogénaire qui semble être un habitué des flashs. Contactés par téléphone, plusieurs gendarmes à la retraite aujourd’hui attestent de l’importance accordée à cette affaire aumoment des faits.
Enquête approfondie
Une enquête approfondie a même été lancée pour vérifier les propos de Renato Niccolaï. Même s’ils sont contestés par certains, les éléments à disposition font de cette affaire l’un des rares phénomènes de ce type àce jour inexpliqué.
http://area51blog.wordpress.com
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