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Trois femmes journalistes expliquent dans Libération, que DSK est un dragueur mais qu'il n'y avait jamais eu dans son comportement de quoi crier au scandale.
Trois femmes journalistes témoige sur le comportement de Dominique Strauss-Khan avec les femmes. Dans Libération de ce week-end ces témoignage qui tranche avec les récentes révélations sur DSK et corrobore celui de Thomas Hugues. Virginie Malingre (Le Monde), Nathalie Raulin(Libération) et Nathalie Segaunes (Le Parisien) qui ont toutes trois suivi DSK pendant un temps.Selon elles il est « factuellement faux » de prétendre qu’une journaliste ne peut pas interviewer seule DSK. « Les rumeurs de ses aventures d’un après-midi bruissaient dans les couloirs du ministère, mais il n’y a jamais eu dans son comportement, de quoi crier au scandale, ni redouter une interview en tête-à-tête ».
Elles ne nient pas son côté séducteur : « Aucun doute, l’homme était dragueur, souvent un peu lourd. Les invitations galantes ou les plongées dans les décolletés étaient un gimmick quasi obligé des débuts de conversation. (…) Mais nous n’avons jamais été agressées ni menacées. »
Les journalistes concluent : « Le rapport de force est finalement équilibré, entre l’homme politique et la femme journaliste : il peut lui faire des avances. Elle peut (elle doit), si elle estime que la limite est franchie, le relater dans son journal. »
Pour ma part, on a affaire au choc des mentalités. Les USA donneur de leçons oubli vite les mensonges sous serment de Clinton et de son équipe compléte qui servait de rabatteur ou encore le silence complice face aux frasques sexuelles de JFK et de sa femme.
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