How Does WhatsApp Make Money? Know the facts! | WhatsApp Business Model
-
Not only you, but every WhatsApp user have a prominent question, *how
WhatsApp earns money?* Why its service is free? No ad campaign, No
monetization trick...
samedi 12 mars 2011
Plainte contre les soubrettes sexy.
Michèle Picard, maire communiste de Vénissieux (Rhône), a déposé plainte contre la société « Sensual clean service », basée dans l'Aude, qui propose les services de femmes de ménage en tenue légère. Elle estime qu'elle porte une « atteinte grave à la dignité humaine ».
Le tollé soulevé en France par la création de la société « Sensual clean service », qui propose les prestations de femmes de ménage en tenue légère, pourrait rebondir au tribunal de Carcassonne. Michèle Picard, maire communiste de Vénissieux, près de Lyon a, selon le journal 20 minutes, déposé plainte auprès du procureur de la République de Carcassonne, « pour atteinte grave à la dignité humaine et marchandisation inadmissible du corps humain ».
Johan Blazy, 29 ans, le fondateur de la société crie à « l'acharnement et à la récupération politique. Je ne comprends pas pourquoi ce concept est mal vu par ces personnes. » La société « Sensual clean service » implantée à Paris, Lille et Montpellier, a son siège dans l'Aude, à Salles-sur-l'Hers et si la plainte de l'élue de la banlieue lyonnaise est recevable, ce sont les juges carcassonnais qui auront à trancher.
Depuis jeudi, le site internet est fermé. « Je préfère tout arrêter que d'entrer dans le jeu des politiques qui cherchent à se faire de la pub sur mon dos, justifie le concepteur. Je ne suis pas un proxénète. Ma société proposait simplement des prestations qui alliaient le ménage au visuel. C'était un divertissement. »
Cette « innovation » a fait grand bruit et les réactions hostiles se sont multipliées en France. Dernièrement encore à Carcassonne, les femmes socialistes écrivaient au sénateur Courteau pour dénoncer « une image dégradante de la femme ».
L'initiative du maire de Vénissieux, qui a saisi le procureur de Carcassonne, pourrait par ailleurs faire tache d'huile, puisque plusieurs associations défendant le droit des femmes on fait savoir qu'elles envisageaient également des actions en justice. « Ces associations ne se sont même pas renseignées, déplore Johan Blazy. Elles n'ont pas contacté mes employées. » Et le jeune entrepreneur envisage lui aussi de saisir la justice. « Je vais voir ce qu'il est possible de faire du côté juridique. On m'a tout de même traité de proxénète. C'est difficile pour ma famille. Je ne veux pas que cette étiquette reste collée à ma peau. Pour ces politiques, c'est un amusement mais ils ne pensent pas qu'il y a un être humain derrière. »
LA SUITE
Rejoignez la communauté SCIencextrA
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Write comments