Un homme de 34 ans a été mis en examen mardi pour « tentative de chantage » sur la personne de Julie Depardieu. D’après Le Parisien, cet Haïtien aurait tenté de racketter la comédienne en échange d’une vidéo compromettante. Tout aurait commencé dans la nuit du 14 au 15 août dernier, lorsque l’actrice rentre de soirée en compagnie d’un homme. Au petit matin, plus aucune trace de l’inconnu… et plus aucun souvenir. Quelques jours plus tard, l’homme la rappelle et lui affirme avoir filmé leurs ébats amoureux. Il exige alors la somme de 130 000€ pour ne pas vendre ces images à des magazines people.
L’actrice « en très mauvaise posture »
Julie Depardieu aurait alors contacté son avocat et déposé plainte auprès du parquet de Versailles (Yvelines). Afin de prouver ses dires, le racketteur envoie une copie du film qu’il affirme avoir réalisé à sa victime. « Le document est de piètre qualité mais l’actrice y est filmée en très mauvaise posture », d’après une source du quotidien. La brigade criminelle de la police judiciaire, saisie de l’enquête, met alors en place des écoutes téléphoniques. Pendant une quinzaine de jours, des appels sont passés entre le maître chanteur et sa victime afin de fixer un rendez-vous.
Il nie les faits
Celui-ci doit avoir lieu près de la bibliothèque François-Mitterrand, dans le XIIIe arrondissement de Paris, en septembre. Mais le racketteur décide de ne pas se rendre au rendez-vous par peur de la police. Grâce aux écoutes téléphoniques, les enquêteurs réussissent tout de même à remonter jusqu’au domicile du maître chanteur, à Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne), où ils ont interpellé le suspect lundi dernier.
Julie Depardieu aurait alors contacté son avocat et déposé plainte auprès du parquet de Versailles (Yvelines). Afin de prouver ses dires, le racketteur envoie une copie du film qu’il affirme avoir réalisé à sa victime. « Le document est de piètre qualité mais l’actrice y est filmée en très mauvaise posture », d’après une source du quotidien. La brigade criminelle de la police judiciaire, saisie de l’enquête, met alors en place des écoutes téléphoniques. Pendant une quinzaine de jours, des appels sont passés entre le maître chanteur et sa victime afin de fixer un rendez-vous.
Il nie les faits
Celui-ci doit avoir lieu près de la bibliothèque François-Mitterrand, dans le XIIIe arrondissement de Paris, en septembre. Mais le racketteur décide de ne pas se rendre au rendez-vous par peur de la police. Grâce aux écoutes téléphoniques, les enquêteurs réussissent tout de même à remonter jusqu’au domicile du maître chanteur, à Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne), où ils ont interpellé le suspect lundi dernier.
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