Considéré comme le père du mouvement punk, il avait accédé à la notoriété dans les années 1970 comme manager des New York Dolls puis des Sex Pistols. Malcolm McLaren est décédé jeudi dans une clinique suisse à l'âge de 64 ans des suites d'un cancer.
Après avoir été le manager des New York Dolls, groupe américain très porté sur la provocation, Malcom McLaren a connu le succès avec les Sex Pistols, qu'il a formés en 1975. Le groupe n'a enregistré qu'un album et s'est séparé trois ans après sa formation, mais "Anarchy in the U.K." ou "God Save the Queen" sont devenus les hymnes d'une génération fascinée par le nihilisme et les extravagances du quatuor.
Malcom McLaren est en outre l'interprète d'une demi-douzaine de disques et a notamment enregistré en 1994 un duo intitulé "Paris Paris" avec Catherine Deneuve.
Selon le journaliste Jon Savage, qui a consacré un ouvrage aux Sex Pistols, "il n'y aurait pas eu de punk britannique sans Malcolm McLaren. Il est l'une des rares personnes à avoir eu un impact énorme sur la vie culturelle et sociale de son pays".
Vivienne Westwood a salué vendredi l'artiste "très talentueux" qu'était son ancien compagnon. "Quand nous étions jeunes et que je suis tombée amoureuse de Malcolm, je pensais qu'il était beau et je continue de le penser. Le savoir mort m'attriste vraiment", a ajouté la styliste britannique, avec qui Malcolm McLaren avait eu un fils, Joseph Corre, en 1967.
Le créateur de mode Jean-Charles de Castelbajac, ami proche depuis le début des années 70 de Malcolm McLaren considère de son côté le musicien et artiste multiforme comme "un visionnaire génial". Il a été "le fondateur de la mise en image de la musique".
Malcom McLaren est en outre l'interprète d'une demi-douzaine de disques et a notamment enregistré en 1994 un duo intitulé "Paris Paris" avec Catherine Deneuve.
Selon le journaliste Jon Savage, qui a consacré un ouvrage aux Sex Pistols, "il n'y aurait pas eu de punk britannique sans Malcolm McLaren. Il est l'une des rares personnes à avoir eu un impact énorme sur la vie culturelle et sociale de son pays".
Vivienne Westwood a salué vendredi l'artiste "très talentueux" qu'était son ancien compagnon. "Quand nous étions jeunes et que je suis tombée amoureuse de Malcolm, je pensais qu'il était beau et je continue de le penser. Le savoir mort m'attriste vraiment", a ajouté la styliste britannique, avec qui Malcolm McLaren avait eu un fils, Joseph Corre, en 1967.
Le créateur de mode Jean-Charles de Castelbajac, ami proche depuis le début des années 70 de Malcolm McLaren considère de son côté le musicien et artiste multiforme comme "un visionnaire génial". Il a été "le fondateur de la mise en image de la musique".
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