mardi 16 février 2010

Gordon Brown mauvaise langue sur M Sarkozy.



Gordon Brown est-il un vilain cafteur ou le facteur de l’amour ? Un stratège redoutable, en fait…
Décidément, on croit que c’est sympa, on trouve ça rigolo et tout. Puis on analyse. Et à froid, on se rend compte que les déclarations des personnalités politiques, surtout en provenance de Grande-Bretagne, sont tout sauf altruistes. Car on aura beau dire ou faire, la traditionnelle rivalité franco-britannique ne s’arrêtera jamais. Cette fois, c’est l’iconoclaste premier ministre anglais, Gordon Brown, qui balance à mort sur ses « amis » Nicolas Sarkozy et Carla Bruni.
Il a ainsi dit dans Le Télégraph tout le bien qu’il pense de Carla Bruni-Sarkozy, avec qui il « s’entend très bien. » Comme par hasard.
Mais attendez la suite et vous comprendrez la fulgurance de notre dissection. Gordon Brown affirme, SANS FOURNIR LA MOINDRE PREUVE, que Nicolas Sarkozy était constamment pendu au portable avec l’ex-top model : « Je ne devrais peut-être pas dire ça, mais lors des séances au Conseil de l'Europe, son téléphone pouvait sonner six fois, il était tout le temps en train de lui parler au téléphone, les meetings l'ennuyaient, il me passait parfois le téléphone pour que je parle à Carla », rapporte le Post.
En fait, en lisant entre les lignes, ce représentant haut placé de la Perfide Albion tente, par une manœuvre des plus basses, à faire croire que l’amour présidentiel nuit au travail, brouillant le regard et la volonté sans faille de notre Président de la République. Le faisant passer pour un Arlequin soupirant pour sa Colombine, Gordon Brown fait d’une pierre deux coups : tenter de minimiser le désamour de la population britannique à son endroit, tout en détruisant l’image de la France au niveau international.
C’est petit. "Small", comme on dit en Grande-Bretagne.
P.L.N


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