mardi 26 janvier 2010

Le mystère Cousteau!

Y aurait-il des mystères restant enfouis dans le passé d’un scientifique mondialement connu, à savoir le commandant Cousteau ? Un jour viendra certainement où ses descendants où anciens compagnons d’équipages feront paraître ses mémoires mais en attendant cette hypothétique parution, penchons nous sur le mystère Cousteau… L’affaire éclata le 26 Juin 1995 : l’un de nos correspondants nous livra l’information en nous rapportant une histoire relatée par l’un de ses collègues militaires stationnés à Djibouti : il s’agissait d’une découverte effectuée par le commandant Cousteau dans une fosse marine au large de Djibouti, où se situent des ilots dans le golfe de Tadjoura et plus particulièrement dans la passe de El-Kharab. Selon le commandant, elle n’aurait pas été révélée car elle aurait entrainé des conséquences trop importantes sur les connaissances actuelles. L’expérience aurait consisté à immerger une carcasse de chameau dans une cage destinée à l’observation des requins et la cage en serait ressortie broyée comme par quelque créature formidable.

Il est vrai que la rumeur circule en république de Djibouti. L’année suivante, l’équipe Cousteau serait arrivée à Djibouti et aurait plongé une carcasse dans une cage, et vu quelque chose : il aurait déclaré que ce qu’il avait vu était trop important pour le dévoiler à l’humanité ?!? Cette découverte cachée du commandant serait-elle « la chose » dont parle Pierre Clostermann ? L’étude des grands fonds et des fosses abyssales est encore incomplète et si cette information se révélait exacte, elle confirmerait sans aucun doute l’existence d’une espèce animale particulièrement fantastique, inconnue ou à redécouvrir. Quelle créature aurait pu pulvériser une cage aux requins, attirée par un appât, en l’occurrence une carcasse de chameau ? Le premier qui nous vient à l’esprit est le grand requin blanc ( Carcharodon Carcharias ), où son ancêtre, le gigantesque Carcharodon Megalodon de l’ère Miocène…



En mars 1954, le Rachel Cohen, un cotre australien, venait d’être mis en cale sèche. Le navire avait l’arbre d’hélice faussé. Alors que la mer était très agitée, au large de Timor (Indonésie), un choc violent s’était produit. Les ouvriers retirèrent 17 dents de 8 cm à leur base et d’environ 10 cm du collet à la pointe. Le demi-cercle décrit par l’implantation des dents atteignait presque 2 m de diamètre ! Les ichtyologues australiens ont estimé la taille de ce requin à 24 m de long.




A la fin du 19e siècle, le navire océanographique Challenger découvrit au fond du Pacifique des dents actuelles de requin blanc mais longues de 12,5 cm ! soit un requin de plus de 30 mètres de long !!! mais un requin blanc n'a jamais dépasser 10 mètre de long alors le requin blanc est le mégalodon ne font t'il qu'un ???



Il s’agit probablement du plus gros poisson ayant jamais vécu, avec une telle taille oscillant entre 15m et 25m et des dents de 20cm de haut, les mâchoires de ce super géant des mers ayant une ouverture entre 1,50m et 1,80m. Pour info, en 1954, un bateau australien passait en cale sèche pour une réfection complète de sa coque, peu de temps avant, le bateau avait subit un grand choc au large de Timor, pendant une tempête, et en cale sèche, on a trouvé sur sa coque, une trace de morsure de 1m environ. Après une étude approfondie par des Ichtyologues australiens, ils ont conclu que l’animal possesseur d’une telle dentition devait mesurer environs 24m, d’ailleurs, des dents de requins énormes ont étés retrouvées lors de dragues dans le pacifique, et appartenaient à des spécimens de 25 à 30 mètres de long !!! Le commandant Cousteau aurait paraît-il réussi à filmé le monstre, ses descendants conserveraient le document dans un coffre fort, avec l’ordre de ne jamais le sortir. En effet, le film serait de mauvaise qualité et les descendants du commandant craindraient pour leurs réputations. Mais le mot de la fin est du commandant lui-même : « Mes amis, je crois que la mer nous réserve encore bien des surprises… »

Source:taverne de l'étrange/ google fr/Article de la revue « Le monde de l’inconnu – Février/Mars 2001 »

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