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Je vais ici vous conter l’histoire de Sandrine et Emmanuel. C’est une
histoire vraie tout droit sortie de leurs bouches et retranscrite ici
selon leurs propres mots, leurs propres expressions. J’espère que toute
la réalité de leur histoire saura vous imprégner des sensations dont ils
ont été témoins il y a de ça quelques années.
Tout s’est passé en 1995. Ils avaient alors tous deux 23 ans.
Situons nous dans la nuit du 24 au 25 décembre. Il était près de 2
heures du matin. Ils habitaient alors tous les deux ensemble dans un
village au sud de Lyon. Ils rentraient en voiture après avoir célébré le
réveillon de Noël en famille. Notez qu’ils n’ont jamais bu d’alcool ni
utiliser de drogues de leur vie. Ce soir là, ils étaient parfaitement
sobres et lucides.
Sur la route qui devait les ramener d’une banlieue proche de Lyon à leur
village en Isère, ils roulèrent tranquillement dans leur ZX (Citroën).
Ils avaient quelques cinquante kilomètres à faire, sans neige, sans
pluie, un temps assez clair à part quelques légers passages nuageux.
A l’entrée de l’un des villages, environ à mi chemin de leur parcours,
ils eurent chacun de leur coté l’impression d’avoir vu passer une grosse
masse blanchâtre de gauche à droite. Ils ne se confièrent pas leurs
impressions dès la première apparition. Mais au deuxième passage de la
forme indistincte, ils firent tous les deux en même temps une remarque à
l’autre quand à cette chose bizarre qui était passée au dessus d’eux,
au dessus du village.
‘cela doit être une lumière qui provient d’un velux et qui a éclairé un
petit nuage’, émettent ils en continuant simplement leur chemin.
Cependant, aux environs du prochain village, ils ont la vision de
quelque chose de beaucoup plus net : une vision qui ne les quittera pas
pendant une heure. Ils pouvaient très nettement observer, au dessus de
leur tête, légèrement sur la droite (la voiture roulait donc en
direction du sud), un disque très large avec plusieurs lumières rondes
de couleur blanc verdâtre, regroupées en deux cercles concentriques,
l’ensemble tournant sur lui-même. L’objet devait mesurer vingt mètres de
diamètres, peut-être plus, il était silencieux (en ouvrant les
fenêtres, ils ne purent distinguer aucun bruit) et il semblait tantôt
les suivre, tantôt les précéder.
Leurs cœurs firent un bon dans leur poitrine. Ils n’avaient jamais vu de
choses semblables et une crainte insidieuse, associée à une excitation
de vivre des instants extraordinaires les tenaillaient.
Ils freinèrent, ralentirent, accélérèrent. L’objet volant non
identifié les suivait, ou les précédait, parfois au dessus des
arbres, parfois en contrebas de la route qui serpentait entre les bois
et les champs. Ils ne purent par contre jamais distinguer de façon
précise le dessus de l’appareil. Uniquement le dessous, avec ses
lumières, offrait une image visible.
Seuls.
Ils étaient seuls sur la route : pas un seul autre véhicule rencontré.
Ils eurent alors peur. Peur de l’inconnu. Peur de ces histoires
d’enlèvement par des extra-terrestres.
Puis, les minutes s’écoulant, ils reprirent confiance. Avançant sur leur
route de campagne, ils arrivèrent à quelques kilomètres de leur
destination. Ils prirent alors la décision de s’arrêter sur un parking,
le long de la route. Ils coupèrent le moteur et sortirent du véhicule,
somme toute confiants mais surtout terriblement intrigués.
Ils approchèrent de la forme dans le ciel, levèrent les
bras en faisant des signes. Puis tout disparu. Tout disparu non pas à
la façon d’une lumière qu’on éteindrait, mais à la façon d’une lumière,
d’un objet qui partirait, au loin, à une vitesse ahurissante.
‘pouf’ !… l’objet était parti, sans bruit, en direction du sud.
Lorsqu’ils arrivèrent chez eux, ils réalisèrent qu’ils avaient mis une
heure de plus que le temps normal pour faire le trajet. Ils appelèrent
leur famille, les cousins chez lesquels ils avaient passé la soirée et
leur racontèrent leur invraisemblable histoire.
‘il faut qu’on le raconte à quelqu’un, tout de suite, sinon personne va
nous croire, on a vu un OVNI’ dirent-ils au téléphone,
crièrent-ils serait plus juste, car leurs cousins leur confièrent qu’ils
criaient en relatant leur histoire.
Ils se couchèrent, plutôt fourbus, et s’endormirent l’un contre l’autre
pour une courte nuit.
Pendant leur sommeil, ils eurent exactement le même rêve, ou, devrais-je
dire, la même sensation : une lumière blanche très forte se trouvait
derrière la fenêtre de leur chambre. Réveillés en sursaut, ils
s’assirent pour voir ce que c’était, mais une force irrépressible les
força à se recoucher, et ils se rendormirent, sans aucun autre souvenir.
Le lendemain matin, ils se réveillèrent et se confièrent leur rêve,
stupéfaits d’avoir fait le même…
Contre la fenêtre de leur chambre, un grand nombre de mouches noires
volaient, en cherchant à sortir. Nous étions en plein hiver et la veille
il n’y avait aucune mouche dans la maison…
Après cette expérience, ils ont pensé aller témoigner à la gendarmerie,
mais ils y ont renoncé, ne voulant pas passer pour des fous. Ils ont
scruter les journaux, pour voir si d’autres personnes avaient aussi vu
la même chose : aucune nouvelle sur le sujet.
A partir de cette nuit, ils avouent avoir eu plusieurs expériences
étranges, tout du moins bizarres. Mais rien ne permettrait selon eux de
relier l’ensemble des différents évènements.
‘peut-être que cette expérience nous a simplement rendu plus sensibles
et observateurs’.
Les jours, les mois passant, ils se sont bien sûr documentés sur le
sujet des OVNIS, ont appris que beaucoup avaient eu des
visions proches de la leur.
Rassurés, ils passèrent à autre chose, tout en gardant cette aventure
présente dans leurs esprits. Ils avaient toujours en tête la possibilité
d’avoir tout imaginé. Un jour, ils émirent même l’hypothèse, sans trop y
croire, que cela pouvait n’être qu’une simple image de spot de boîte de
nuit qui se serait reflété dans la couche nuageuse. Peut-être même
avaient-ils fait tous les deux le même rêve pendant la nuit suivante car
les mêmes stimuli entraînent les mêmes réactions.
Mais au fond, ils savaient que la vérité était qu’un OVNI
les avait suivi sur près de vingt kilomètres, parfois même plus bas que
la route.
Nous sommes tous l’accumulations des petites et grandes expériences de
nos vies.
Cette histoire a changé leur existence.
Merci à eux de nous l’avoir contée.
Je vais ici vous conter l’histoire de Sandrine et Emmanuel. C’est une
histoire vraie tout droit sortie de leurs bouches et retranscrite ici
selon leurs propres mots, leurs propres expressions. J’espère que toute
la réalité de leur histoire saura vous imprégner des sensations dont ils
ont été témoins il y a de ça quelques années.
Tout s’est passé en 1995. Ils avaient alors tous deux 23 ans.
Situons nous dans la nuit du 24 au 25 décembre. Il était près de 2
heures du matin. Ils habitaient alors tous les deux ensemble dans un
village au sud de Lyon. Ils rentraient en voiture après avoir célébré le
réveillon de Noël en famille. Notez qu’ils n’ont jamais bu d’alcool ni
utiliser de drogues de leur vie. Ce soir là, ils étaient parfaitement
sobres et lucides.
Sur la route qui devait les ramener d’une banlieue proche de Lyon à leur
village en Isère, ils roulèrent tranquillement dans leur ZX (Citroën).
Ils avaient quelques cinquante kilomètres à faire, sans neige, sans
pluie, un temps assez clair à part quelques légers passages nuageux.
A l’entrée de l’un des villages, environ à mi chemin de leur parcours,
ils eurent chacun de leur coté l’impression d’avoir vu passer une grosse
masse blanchâtre de gauche à droite. Ils ne se confièrent pas leurs
impressions dès la première apparition. Mais au deuxième passage de la
forme indistincte, ils firent tous les deux en même temps une remarque à
l’autre quand à cette chose bizarre qui était passée au dessus d’eux,
au dessus du village.
‘cela doit être une lumière qui provient d’un velux et qui a éclairé un
petit nuage’, émettent ils en continuant simplement leur chemin.
Cependant, aux environs du prochain village, ils ont la vision de
quelque chose de beaucoup plus net : une vision qui ne les quittera pas
pendant une heure. Ils pouvaient très nettement observer, au dessus de
leur tête, légèrement sur la droite (la voiture roulait donc en
direction du sud), un disque très large avec plusieurs lumières rondes
de couleur blanc verdâtre, regroupées en deux cercles concentriques,
l’ensemble tournant sur lui-même. L’objet devait mesurer vingt mètres de
diamètres, peut-être plus, il était silencieux (en ouvrant les
fenêtres, ils ne purent distinguer aucun bruit) et il semblait tantôt
les suivre, tantôt les précéder.
Leurs cœurs firent un bon dans leur poitrine. Ils n’avaient jamais vu de
choses semblables et une crainte insidieuse, associée à une excitation
de vivre des instants extraordinaires les tenaillaient.
Ils freinèrent, ralentirent, accélérèrent. L’objet volant non
identifié les suivait, ou les précédait, parfois au dessus des
arbres, parfois en contrebas de la route qui serpentait entre les bois
et les champs. Ils ne purent par contre jamais distinguer de façon
précise le dessus de l’appareil. Uniquement le dessous, avec ses
lumières, offrait une image visible.
Seuls.
Ils étaient seuls sur la route : pas un seul autre véhicule rencontré.
Ils eurent alors peur. Peur de l’inconnu. Peur de ces histoires
d’enlèvement par des extra-terrestres.
Puis, les minutes s’écoulant, ils reprirent confiance. Avançant sur leur
route de campagne, ils arrivèrent à quelques kilomètres de leur
destination. Ils prirent alors la décision de s’arrêter sur un parking,
le long de la route. Ils coupèrent le moteur et sortirent du véhicule,
somme toute confiants mais surtout terriblement intrigués.
Ils approchèrent de la forme dans le ciel, levèrent les
bras en faisant des signes. Puis tout disparu. Tout disparu non pas à
la façon d’une lumière qu’on éteindrait, mais à la façon d’une lumière,
d’un objet qui partirait, au loin, à une vitesse ahurissante.
‘pouf’ !… l’objet était parti, sans bruit, en direction du sud.
Lorsqu’ils arrivèrent chez eux, ils réalisèrent qu’ils avaient mis une
heure de plus que le temps normal pour faire le trajet. Ils appelèrent
leur famille, les cousins chez lesquels ils avaient passé la soirée et
leur racontèrent leur invraisemblable histoire.
‘il faut qu’on le raconte à quelqu’un, tout de suite, sinon personne va
nous croire, on a vu un OVNI’ dirent-ils au téléphone,
crièrent-ils serait plus juste, car leurs cousins leur confièrent qu’ils
criaient en relatant leur histoire.
Ils se couchèrent, plutôt fourbus, et s’endormirent l’un contre l’autre
pour une courte nuit.
Pendant leur sommeil, ils eurent exactement le même rêve, ou, devrais-je
dire, la même sensation : une lumière blanche très forte se trouvait
derrière la fenêtre de leur chambre. Réveillés en sursaut, ils
s’assirent pour voir ce que c’était, mais une force irrépressible les
força à se recoucher, et ils se rendormirent, sans aucun autre souvenir.
Le lendemain matin, ils se réveillèrent et se confièrent leur rêve,
stupéfaits d’avoir fait le même…
Contre la fenêtre de leur chambre, un grand nombre de mouches noires
volaient, en cherchant à sortir. Nous étions en plein hiver et la veille
il n’y avait aucune mouche dans la maison…
Après cette expérience, ils ont pensé aller témoigner à la gendarmerie,
mais ils y ont renoncé, ne voulant pas passer pour des fous. Ils ont
scruter les journaux, pour voir si d’autres personnes avaient aussi vu
la même chose : aucune nouvelle sur le sujet.
A partir de cette nuit, ils avouent avoir eu plusieurs expériences
étranges, tout du moins bizarres. Mais rien ne permettrait selon eux de
relier l’ensemble des différents évènements.
‘peut-être que cette expérience nous a simplement rendu plus sensibles
et observateurs’.
Les jours, les mois passant, ils se sont bien sûr documentés sur le
sujet des OVNIS, ont appris que beaucoup avaient eu des
visions proches de la leur.
Rassurés, ils passèrent à autre chose, tout en gardant cette aventure
présente dans leurs esprits. Ils avaient toujours en tête la possibilité
d’avoir tout imaginé. Un jour, ils émirent même l’hypothèse, sans trop y
croire, que cela pouvait n’être qu’une simple image de spot de boîte de
nuit qui se serait reflété dans la couche nuageuse. Peut-être même
avaient-ils fait tous les deux le même rêve pendant la nuit suivante car
les mêmes stimuli entraînent les mêmes réactions.
Mais au fond, ils savaient que la vérité était qu’un OVNI
les avait suivi sur près de vingt kilomètres, parfois même plus bas que
la route.
Nous sommes tous l’accumulations des petites et grandes expériences de
nos vies.
Cette histoire a changé leur existence.
Merci à eux de nous l’avoir contée.
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