Le baromètre publié par la CFE-CGC montre que le niveau de stress des cadres s'aggrave encore.
La charge de travail associée au manque de temps, tels sont les deux principaux facteurs de stress dénoncés par les cadres dans le dernier baromètre réalisé par OpinionWay pour la centrale des cadres CFE-CGC. Les résultats obtenus lors de la précédente enquête n'étaient déjà pas encourageants, mais force est de constater que six mois plus tard, les cadres se sentent encore plus démunis face aux cadences de travail.
Ils sont ainsi plus nombreux qu'en mars à considérer que les objectifs fixés par les employeurs ne sont pas réalistes. La quasi-totalité des 1032 salariés interrogés (90%) estiment manquer de temps pour réaliser leurs tâches. De plus en plus de cadres ajoutent de plus qu'ils ne disposent pas des moyens nécessaires pour mener à bien leur mission et regrettent par ailleurs que les contours de leurs responsabilités soit de plus en plus flous.
S'ajoute à cela un fort sentiment déconsidération et l'impression pour 75% d'entre eux que les patrons ne sont pas attentifs à leur stress. En conséquence 70 % se sentent "crispés" ou "tendus". A tel point que 40 % d'entre eux, envisagent de quitter leur poste. Ces chiffres sonnent comme un rappel à l'ordre sur l'urgence de la situation... Gouvernement et députés qui ont lancé –chacun de leur côté- des groupes de travail sur ce thème, sont attendus au tournant.
L'interview de :
Jean-François Copé, président du groupe UMP à l'Assemblée Nationale "La valeur d’une entreprise ce n’est pas seulement de bons ratios financiers"
Stress, dépression...les problèmes de santé mentale coûtent cher à l'économie
Quand le stress au travail tue
Le stress au travail, prise de conscience tardive en France
Xavier Darcos demande des négociations sur le stress au travail
Le stress devient une maladie du travail
Les cadres craignent de plus en plus pour leur emploi
Pour en savoir plus:
L'enquête de la CFE-CGC:
© Capital.frIls sont ainsi plus nombreux qu'en mars à considérer que les objectifs fixés par les employeurs ne sont pas réalistes. La quasi-totalité des 1032 salariés interrogés (90%) estiment manquer de temps pour réaliser leurs tâches. De plus en plus de cadres ajoutent de plus qu'ils ne disposent pas des moyens nécessaires pour mener à bien leur mission et regrettent par ailleurs que les contours de leurs responsabilités soit de plus en plus flous.
S'ajoute à cela un fort sentiment déconsidération et l'impression pour 75% d'entre eux que les patrons ne sont pas attentifs à leur stress. En conséquence 70 % se sentent "crispés" ou "tendus". A tel point que 40 % d'entre eux, envisagent de quitter leur poste. Ces chiffres sonnent comme un rappel à l'ordre sur l'urgence de la situation... Gouvernement et députés qui ont lancé –chacun de leur côté- des groupes de travail sur ce thème, sont attendus au tournant.
L'interview de :
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