Des spécialistes italo-syriens en archéologie ont découvert un lieu de
sépulture datant de 3 millénaires avant notre ère sur une vieille route
entre la Mésopotamie et la mer Méditerranée, à l'ouest de Palmyre dans
le désert syrien.
Ces recherches archéologiques, conduites sur une décennie, ont été
dirigées en collaboration par des scientifiques italiens et la
direction générale des antiquités de Syrie, menée par Michel
al-Maqdissi.
Selon Daniele Morandi Bonacossi, un chercheur de l'Université
d'Udine qui a participé activement aux fouilles, cette nécropole a une
valeur inestimable, que ce soit par l'ampleur de ses ruines ou par sa
qualité exceptionnelle de préservation, puisqu'elle contribuera
notamment à une bien meilleure compréhension des anciennes
civilisations antiques, particulièrement concernant les notions de vie
et de mort.
Il fait également remarquer que si d'autres tombeaux funéraires
remontant à la même époque ont effectivement déjà été trouvés, ils sont
toutefois rares et surtout moins bien conservés comparativement aux
sépultures de cette nécropole, jamais pillées et donc en parfait état.
À ce jour, nombreux sont les groupes de chercheurs a être employés
sur les chantiers archéologiques en Syrie, des zones qui abondent
littéralement en vestiges des différentes cultures qui y ont traversé
les époques, à partir du néolithique, en passant par la domination
ottomane. Ce site funéraire contient donc les preuves du passage de
l'être humain durant l'âge de bronze.
D'ailleurs, à l'automne 2008, à l'occasion de cette même campagne,
des scientifiques ont mis au jour une spacieuse bâtisse, à l'est du
palais royal, de même qu'une panoplie d'objets de considérable valeur
historique remontant au 19 siècle avant notre ère, telles que des
statuettes votives en terre cuite, des céramiques et des épingles de
bronze.
Source: Radio-Canada
sépulture datant de 3 millénaires avant notre ère sur une vieille route
entre la Mésopotamie et la mer Méditerranée, à l'ouest de Palmyre dans
le désert syrien.
Ces recherches archéologiques, conduites sur une décennie, ont été
dirigées en collaboration par des scientifiques italiens et la
direction générale des antiquités de Syrie, menée par Michel
al-Maqdissi.
Selon Daniele Morandi Bonacossi, un chercheur de l'Université
d'Udine qui a participé activement aux fouilles, cette nécropole a une
valeur inestimable, que ce soit par l'ampleur de ses ruines ou par sa
qualité exceptionnelle de préservation, puisqu'elle contribuera
notamment à une bien meilleure compréhension des anciennes
civilisations antiques, particulièrement concernant les notions de vie
et de mort.
Il fait également remarquer que si d'autres tombeaux funéraires
remontant à la même époque ont effectivement déjà été trouvés, ils sont
toutefois rares et surtout moins bien conservés comparativement aux
sépultures de cette nécropole, jamais pillées et donc en parfait état.
À ce jour, nombreux sont les groupes de chercheurs a être employés
sur les chantiers archéologiques en Syrie, des zones qui abondent
littéralement en vestiges des différentes cultures qui y ont traversé
les époques, à partir du néolithique, en passant par la domination
ottomane. Ce site funéraire contient donc les preuves du passage de
l'être humain durant l'âge de bronze.
D'ailleurs, à l'automne 2008, à l'occasion de cette même campagne,
des scientifiques ont mis au jour une spacieuse bâtisse, à l'est du
palais royal, de même qu'une panoplie d'objets de considérable valeur
historique remontant au 19 siècle avant notre ère, telles que des
statuettes votives en terre cuite, des céramiques et des épingles de
bronze.
Source: Radio-Canada
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