Je vais vous relater un témoignage de mon frère. Celà s'est passé il y a 13 ou 14 ans, à cette époque il devait avoir 17/18 ans. Ils étaient quatre jeunes garçons sur leurs mobylettes et rentraient de chez un copain, c'était en campagne, donc nuie noire, juste un peu de clarté par la lune (il était environ minuit). Quand ils ont vu trois sphères bleues arrivées en face d'eux assez rapidement, ils n'ont pas eu le temps de changer de direction ou de s'arrêter que les sphères étaient passées à travers d'eux. Ils ont alors stoppé leurs mobylettes pour les regarder s'éloigner plus loin en direction du ciel où elles ont disparues. Moi j'ai toujours pensé qu'ils avaient bu ou hallucinés ensemble, mais après tant d'années, ces quatres hommes maintenant disent toujours la même chose, ils ont l'air sincères donc celà me pose question. Est-ce que quelqu'un aurait déjà entendu parler de "sphères bleues" dans des cas d'apparitions d'OVNI's?
L'équipe dirigée par Antonio Pavao et Gerson Paiva, de l'université
fédérale de Pernambuco (Brésil), a eu l'idée de tester l'une des
hypothèses les plus sérieuses émises à ce jour pour expliquer l'origine
de ces bizarreries de la nature.
L'un de ses auteurs, John Abrahamson, de l'université de Canterbury, à
Christchurch (Nouvelle-Zélande), postule en effet que les boules de feu
se forment lorsque la foudre s'abat sur un sol riche en silice, le
constituant principal du sable et des argiles. Sous l'effet de la
chaleur, la silice se transforme en un nuage de vapeur de silicium pur.
En se refroidissant au contact de l'air, les particules de silicium se
condensent et s'agrègent presque instantanément pour former une sphère
brillante, dont le diamètre peut atteindre plusieurs dizaines de
centimètres. Toujours selon cette théorie, la lumière émise par la
boule de feu serait produite par la recombinaison du silicium avec
l'oxygène de l'air. Pour en avoir le coeur net, Pavao et Paiva ont
placé des tranches de silicium de 320 microns d'épaisseur utilisés en
électronique entre deux électrodes qu'ils ont soumises à un courant de
plus de 140 ampères. Au bout de quelques secondes, les chercheurs ont
lentement éloigné les deux électrodes l'une de l'autre afin de produire
un arc électrique d'une puissance suffisante pour vaporiser le silicium.
Source :
http://www.lefigaro.fr/sciences/20070116.FIG000000243_des_chercheurs_bresiliens_creent_des_boules_de_foudre.html
Source de la vidéo :
http://www.espacociencia.pe.gov.br/multimidia/multimidia_win_media_player.php%20 «
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