Des scientifiques canadiens rapportent avoir découvert avec
étonnement qu'une protéine que l'on considérait
jusqu'ici inoffensive, serait impliquée dans l'évolution
du cancer du sein.
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D'après les éléments de la recherche, la
protéine ARF1 jouerait un rôle clé dans le
processus de dissémination et de multiplication cellulaire
tumorale. On avait toujours cru que cette même protéine
présentait seulement des fonctions régulatrices
liées à un mécanisme essentiel pour l'ensemble des
cellules.
L'équipe de l'Université de Montréal et de
l'Université de l'Alberta, est la première à
mettre à l'avant la responsabilité de cette
protéine dans le développement des tumeurs au sein. Les
auteurs à l'origine de la découverte, la professeure
Audrey Claing et son équipe, ont bon espoir qu'en visant
spécifiquement cette macromolécule à l'aide de
thérapeutiques adaptées, ont pourrait peut-être en
venir à traiter ce type de tumeur efficacement.
Afin d'en arriver à ces résultats, l'équipe a
utilisé des lignées cellulaires de tumeurs du sein
envahissantes dans le but de déterminer dans quelles mesures la
ARF1 était impliquée dans la progression de cette forme
de cancer.
Lorsque l'activité de cette protéine était
entravée, l'invasivité ainsi que la multiplication des
cellules cancéreuses chutaient, tandis qu'un excès d'ARF1
entraînait une augmentation de la croissance cellulaire et de la
propagation du cancer.
Bref, à la lumière de l'enquête, les chercheurs
sont donc à même d'estimer que cette macromolécule
pourrait très bien être un jour le point de mire de
pharmacothérapies dans le cadre de traitements de tumeurs
invasives au sein.
Les travaux apparaissent dans la revue médicale Journal of Biological Chemistry.
Source: Techno-science
étonnement qu'une protéine que l'on considérait
jusqu'ici inoffensive, serait impliquée dans l'évolution
du cancer du sein.
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D'après les éléments de la recherche, la
protéine ARF1 jouerait un rôle clé dans le
processus de dissémination et de multiplication cellulaire
tumorale. On avait toujours cru que cette même protéine
présentait seulement des fonctions régulatrices
liées à un mécanisme essentiel pour l'ensemble des
cellules.
L'équipe de l'Université de Montréal et de
l'Université de l'Alberta, est la première à
mettre à l'avant la responsabilité de cette
protéine dans le développement des tumeurs au sein. Les
auteurs à l'origine de la découverte, la professeure
Audrey Claing et son équipe, ont bon espoir qu'en visant
spécifiquement cette macromolécule à l'aide de
thérapeutiques adaptées, ont pourrait peut-être en
venir à traiter ce type de tumeur efficacement.
Afin d'en arriver à ces résultats, l'équipe a
utilisé des lignées cellulaires de tumeurs du sein
envahissantes dans le but de déterminer dans quelles mesures la
ARF1 était impliquée dans la progression de cette forme
de cancer.
Lorsque l'activité de cette protéine était
entravée, l'invasivité ainsi que la multiplication des
cellules cancéreuses chutaient, tandis qu'un excès d'ARF1
entraînait une augmentation de la croissance cellulaire et de la
propagation du cancer.
Bref, à la lumière de l'enquête, les chercheurs
sont donc à même d'estimer que cette macromolécule
pourrait très bien être un jour le point de mire de
pharmacothérapies dans le cadre de traitements de tumeurs
invasives au sein.
Les travaux apparaissent dans la revue médicale Journal of Biological Chemistry.
Source: Techno-science
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