Assassinat de Mohamed Laidouni. Ne dites pas que ce sont des noirs.


On vient de juger les dix accusés de l’assassinat de Mohamed Laidouni sur l’autoroute A13 le 27 juin 2010, à la suite d’un banal accrochage.
La conductrice du véhicule responsable, non assuré, avait refusé d’établir un contrat amiable et appelé à la rescousse ses copains de la cité voisine des Mureaux. Ils étaient venus en nombre. L’un avait déclaré : « Vous voulez faire les Français, vous êtes morts, ici on est chez nous ! » et « On va vous tuer, vous enterrer devant votre mère… » Ce qu’ils ont fait à coups de pied.

Quatre ont été condamnés pour « homicide volontaire » et trois pour « violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner » à des peines allant de cinq à vingt ans de prison. La conductrice a écopé de quatre ans.
Mais avez-vous lu dans les grands médias qu’il s’agissait de « subsahariens », pour certains issus de familles polygames ? Avez-vous vu quelque part les noms des coupables ?
Nous en sommes là. Des « coupeurs de route », comme en Côte d’ivoire, ont colonisé des cités. Et ne supportent pas qu’on y intervienne. Rappelez-vous les « attaques de diligence » de Grigny… où il n’y a pas de coupable.
Quant aux médias, c’est simple : ils occultent systématiquement le caractère racial et culturel de ces exactions. Dormez braves gens, l’ordre règne !
François Jourdier, le 23 avril 2013

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