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1LE JOKER IN THE DARK KNIGHT
Le perso : A mi-chemin entre le clown et le bouffon du roi, le personnage du Joker est le plus grand rival de Batman. Dans la version de Nolan, on assiste à la présentation d’un type un peu plus punk à chien. Abusant d’un fond de teint blanchâtre, le mec est un véritable psychopathe, totalement manipulateur à la cruauté sans égale.
L’acteur : Heath Ledger, qui livre là une de ses dernières prestation (il se suicide une année après) sera couronné d’un Oscar remis à titre posthume. Bien que les fans étaient sceptiques quant à la capacité du cowboy vigoureux (Le Secret de Brokeback Mountain) à interpréter ce psychopathe de Joker, il est évident qu’à ce jour, beaucoup le pleurent.
Ce que l’on aime : Le style, la dégaine, les répliques, voir même sa perversité.
Le truc en plus : Dans The Dark Knight, le perso donne plusieurs versions concernant l’origine des cicatrices qu’il porte sur son visage (son père qui se défoule, acte de solidarité envers sa femme). Bref, on ne sera jamais…
LE JOKER, VERSION HEATH LEDGER
2BATMAN IN THE DARK KNIGHT TRILOGY
Le perso : Batman, un super-héros sans véritable pouvoir – mise à part que c’est une dalle le type – et qui est en réalité Bruce Wayne, un milliardaire avec tout ce qui va avec. Bon, on comprend très vite, que torturé par la disparition de ses parents, le jeune Bruce sublime sa peur des chauves-souris en faisant de cet animal, le symbole de sa soif de justice.
L’acteur : Christian Bale, qui peut se targuer d’avoir jouer pour les plus grands : Spielberg, Mann, Malick, Herzog, etc… (Tom Cruise de ce côté, est encore au dessus) Sinon c’est un peu l’acteur neutre par excellence, une sorte de Keanu Reeves dans Matrix ; son jeu n’est pas ce qu’il y a de plus bouleversant ( exceptions faites pour The Machinist et The Fighter) mais il arrive à faire exister son personnage tout en permettant surtout aux autres des prestations de haut vol
Ce que l’on aime : Sa façon de taper des pompes au réveil dans Batman Begins.
Le truc en plus : Pour camper le rôle de Batman, dans le premier long métrage de Nolan, l’acteur a du récupérer les 28 kilos perdus 6 mois auparavant pour le rôle d’un insomniaque dans The Machinist.
Le perso : Batman, un super-héros sans véritable pouvoir – mise à part que c’est une dalle le type – et qui est en réalité Bruce Wayne, un milliardaire avec tout ce qui va avec. Bon, on comprend très vite, que torturé par la disparition de ses parents, le jeune Bruce sublime sa peur des chauves-souris en faisant de cet animal, le symbole de sa soif de justice.
L’acteur : Christian Bale, qui peut se targuer d’avoir jouer pour les plus grands : Spielberg, Mann, Malick, Herzog, etc… (Tom Cruise de ce côté, est encore au dessus) Sinon c’est un peu l’acteur neutre par excellence, une sorte de Keanu Reeves dans Matrix ; son jeu n’est pas ce qu’il y a de plus bouleversant ( exceptions faites pour The Machinist et The Fighter) mais il arrive à faire exister son personnage tout en permettant surtout aux autres des prestations de haut vol
Ce que l’on aime : Sa façon de taper des pompes au réveil dans Batman Begins.
Le truc en plus : Pour camper le rôle de Batman, dans le premier long métrage de Nolan, l’acteur a du récupérer les 28 kilos perdus 6 mois auparavant pour le rôle d’un insomniaque dans The Machinist.
3LE JOKER DANS BATMAN, LE FILM
Le perso : A mi-chemin entre le clown et le bouffon du roi, le personnage du Joker est le plus grand rival de Batman. Dans la version de Burton, on assiste à la présentation d’un type vraiment folklo, aux couleurs vives et aux gadgets incroyables. Beaucoup plus déguisé que dans la version de Nolan, le joker y est un peu moins vicelard, mais tout aussi cruel.
L’acteur : L’immense Jack Nicholson, qui après avoir jouer le rôle d’un faux malade mental dans Vol au-dessus d’un nid de coucou (1975) a eu le temps de montrer tout son talent pour les rôles de psychopathe, notamment dans le troublant Shining.
Ce que l’on aime : Le style, la dégaine, les répliques, voir même sa cruauté.
Le truc en plus : Le personnage du Joker dans le Batman de Tim Burton, est classé en 46e position dans la liste des plus grands méchants, publiée par l’American Film Institue.
Le perso : A mi-chemin entre le clown et le bouffon du roi, le personnage du Joker est le plus grand rival de Batman. Dans la version de Burton, on assiste à la présentation d’un type vraiment folklo, aux couleurs vives et aux gadgets incroyables. Beaucoup plus déguisé que dans la version de Nolan, le joker y est un peu moins vicelard, mais tout aussi cruel.
L’acteur : L’immense Jack Nicholson, qui après avoir jouer le rôle d’un faux malade mental dans Vol au-dessus d’un nid de coucou (1975) a eu le temps de montrer tout son talent pour les rôles de psychopathe, notamment dans le troublant Shining.
Ce que l’on aime : Le style, la dégaine, les répliques, voir même sa cruauté.
Le truc en plus : Le personnage du Joker dans le Batman de Tim Burton, est classé en 46e position dans la liste des plus grands méchants, publiée par l’American Film Institue.
[LE JOKER, VERSION NICHOLSON]
4CATWOMAN DANS BATMAN, LE DÉFI
Le perso : Sélina Kyle, est une secrétaire modèle qui poussée dans le vide par son supérieur, se retrouve réanimée par des chats un peu dégeus. Du coup, elle devient un peu plus féline, se déguise en chat et décide de se venger.
L’acteur : Michelle Pfeiffer des années 90, avec un rendement incroyable (2 à 3 films par an). Par ailleurs son talent et son coté glam, ne font que faire de l’ombre à Michael Keaton (encore plus neutre que Christian Bale) qui campe le perso de Batman.
Ce que l’on aime : Comme toutes les catwomans de l’histoire : son costume.
Le truc en plus : Michelle Pfeiffer a récupéré le rôle de Catwoman, suite à la grossesse d’Annette Bening, la veille de son départ en vacances.
Le perso : Sélina Kyle, est une secrétaire modèle qui poussée dans le vide par son supérieur, se retrouve réanimée par des chats un peu dégeus. Du coup, elle devient un peu plus féline, se déguise en chat et décide de se venger.
L’acteur : Michelle Pfeiffer des années 90, avec un rendement incroyable (2 à 3 films par an). Par ailleurs son talent et son coté glam, ne font que faire de l’ombre à Michael Keaton (encore plus neutre que Christian Bale) qui campe le perso de Batman.
Ce que l’on aime : Comme toutes les catwomans de l’histoire : son costume.
Le truc en plus : Michelle Pfeiffer a récupéré le rôle de Catwoman, suite à la grossesse d’Annette Bening, la veille de son départ en vacances.
[CATWOMAN EN MODE BONDAGE]
5LE PINGOUIN DANS BATMAN, LE DÉFI
Le perso : Abandonné par ses parents à cause de son physique disgracieux et recueilli dans les égouts par des manchots, Oswlad Cobblepot décide de revenir en ville, en s’en prenant au milliardaire, Max Shreck. Mains difformes, petite taille, et nez crochu, tout est dit.
L’acteur : Danny DeVito, acteur comique et jumeau de Schwarzenegger, livre ici, une remarquable prestation en jouant le rôle d’un vilain autant malmené par ses paires que barbare.
Ce que l’on aime : le coté très flippant du pingouin… merci Tim.
Le truc en plus : Un film de Tim Burton, où l’un des protagonistes principaux à des mains de particulières, ça ne vous rappelle rien ?
Le perso : Abandonné par ses parents à cause de son physique disgracieux et recueilli dans les égouts par des manchots, Oswlad Cobblepot décide de revenir en ville, en s’en prenant au milliardaire, Max Shreck. Mains difformes, petite taille, et nez crochu, tout est dit.
L’acteur : Danny DeVito, acteur comique et jumeau de Schwarzenegger, livre ici, une remarquable prestation en jouant le rôle d’un vilain autant malmené par ses paires que barbare.
Ce que l’on aime : le coté très flippant du pingouin… merci Tim.
Le truc en plus : Un film de Tim Burton, où l’un des protagonistes principaux à des mains de particulières, ça ne vous rappelle rien ?
6ALFRED DANS THE DARK KNIGHT TRILOGY
Le perso : Alfred Pennyworth, est le majordome de Bruce Wayne, qu’ilélève apres la mort des parents de ce dernier. Il connaît tout de la vie de Bruce Wayne, alias Batman et n’hésite pas à le secourir et à l’aider administrativement dans ses tâches de super-héros, lorsque celui se retrouve mise à mal. Conseiller avisé, il est l’un des piliers dans la vie de Bruce Wayne.
L’acteur : Michael Caine, la valeur sûre de Christopher Nolan (Le Prestige, Inception, etc…), offre une dimension extraordinaire au personnage. Son coté british, lui permettre de mieux correspondre à l’archétype du majordome, et de faire éclater toute l’importance du personnage.
Ce que l’on aime : « Aux grandes vertus que l’on exige dans un domestique ; votre excellence connaît-elle beaucoup de maitres qui fussent dignes d’être valet » in Le Barbier de Séville de Beaumarchais.
Le truc en plus : Bien que le personnage d’Alfred ne soit pas britannique, le rôle a toujours été dévolu à un acteur anglais. C’est en effet l’acteur Michael Gough, acteur féticje de Tim Burton, qui campe le perso dans les versions précédentes.
Le perso : Alfred Pennyworth, est le majordome de Bruce Wayne, qu’ilélève apres la mort des parents de ce dernier. Il connaît tout de la vie de Bruce Wayne, alias Batman et n’hésite pas à le secourir et à l’aider administrativement dans ses tâches de super-héros, lorsque celui se retrouve mise à mal. Conseiller avisé, il est l’un des piliers dans la vie de Bruce Wayne.
L’acteur : Michael Caine, la valeur sûre de Christopher Nolan (Le Prestige, Inception, etc…), offre une dimension extraordinaire au personnage. Son coté british, lui permettre de mieux correspondre à l’archétype du majordome, et de faire éclater toute l’importance du personnage.
Ce que l’on aime : « Aux grandes vertus que l’on exige dans un domestique ; votre excellence connaît-elle beaucoup de maitres qui fussent dignes d’être valet » in Le Barbier de Séville de Beaumarchais.
Le truc en plus : Bien que le personnage d’Alfred ne soit pas britannique, le rôle a toujours été dévolu à un acteur anglais. C’est en effet l’acteur Michael Gough, acteur féticje de Tim Burton, qui campe le perso dans les versions précédentes.
[BRUCE ET SON MAJORDOME]
7L’HOMME MYSTÈRE DANS BATMAN FOREVER
Le perso : Edvard Nigma chercheur émérite au sein de l’entreprise Wayne, met en place une machine, permettant de contrôler les cerveaux. Le refus de financement par Bruce Wayne, entraine le scientifique vers la folie; il devient au cours d’une expérience l’Homme mystère, un méchant adepte de devinettes et d’engins explosifs…
L’acteur : Jim Carrey au sommet de sa forme, qui déploie et redéploye des grimaces à tout va. De plus les rôles d’homme en vert, il connaît (The Mask). Bien que le film de Joël Schumacher ne bouleverse pas les foules, les prestations très en vogue de Jim Carrey, permettent de sauver le film de la catastrophe.
Ce que l’on aime : Ces petits trucs qu’il fait avec son visage, le Jim.
Le truc en plus : Succès du Joker oblige, l’Homme mystère apparaît comme le simulacre du clown de Gotham. Or dans le comics book, l’Homme mystère ne rigole pas vraiment.
Le perso : Edvard Nigma chercheur émérite au sein de l’entreprise Wayne, met en place une machine, permettant de contrôler les cerveaux. Le refus de financement par Bruce Wayne, entraine le scientifique vers la folie; il devient au cours d’une expérience l’Homme mystère, un méchant adepte de devinettes et d’engins explosifs…
L’acteur : Jim Carrey au sommet de sa forme, qui déploie et redéploye des grimaces à tout va. De plus les rôles d’homme en vert, il connaît (The Mask). Bien que le film de Joël Schumacher ne bouleverse pas les foules, les prestations très en vogue de Jim Carrey, permettent de sauver le film de la catastrophe.
Ce que l’on aime : Ces petits trucs qu’il fait avec son visage, le Jim.
Le truc en plus : Succès du Joker oblige, l’Homme mystère apparaît comme le simulacre du clown de Gotham. Or dans le comics book, l’Homme mystère ne rigole pas vraiment.
[JIM CARREY ET SES GRIMACES]
8LUCIUS FOX DANS THE DARK KNIGHT TRILOGY
Le perso : Lucius Fox est un vieil ami de la famille Wayne, concepteur de génie, il est à l’origine de tout l’équipement du super-héros; Batmobile comprise. Fidèle à Bruce Wayne, il n’hésite pas accepter le statut de président de l’entreprise Wayne, afin que Bruce vogue vers d’autres occupations.
L’acteur : Morgan Freeman, éternel second rôle, mais toujours aussi bon. Son côté cool permet d’accroitre la dimension sympathique du personnage et notamment de faire de Lucius Fox un véritable protagoniste.
Ce que l’on aime : On a tous rêvé d’avoir un pote comme Morgan Freeman.
Le truc en plus : Son prénom est inspiré de l’empereur romain Lucius Verus (130 à 169), réputé pour sa grande intelligence mais qui ne dirigeait pas vraiment l’empire.
Le perso : Lucius Fox est un vieil ami de la famille Wayne, concepteur de génie, il est à l’origine de tout l’équipement du super-héros; Batmobile comprise. Fidèle à Bruce Wayne, il n’hésite pas accepter le statut de président de l’entreprise Wayne, afin que Bruce vogue vers d’autres occupations.
L’acteur : Morgan Freeman, éternel second rôle, mais toujours aussi bon. Son côté cool permet d’accroitre la dimension sympathique du personnage et notamment de faire de Lucius Fox un véritable protagoniste.
Ce que l’on aime : On a tous rêvé d’avoir un pote comme Morgan Freeman.
Le truc en plus : Son prénom est inspiré de l’empereur romain Lucius Verus (130 à 169), réputé pour sa grande intelligence mais qui ne dirigeait pas vraiment l’empire.
[MORGAN EST AUSSI DANS THE DARK KNIGHT RISES]
9L’INSPECTEUR GORDON DANS THE DARK KNIGHT TRILOGY
Le perso : Policier aux grosses lunettes et à la petite moustache de la ville de Gotham, Jim Gordon est assez pessimiste concernant le sort de la cité.Néanmoins, l’arrivée de Batman redonne espoir à l’inspecteur qui apporte une aide précieuse au justicier.
L’acteur : Gary Oldman, qui après avoir endossé des premiers rôles de grands méchants (le Dracula de Coppola, c’était lui), s’est tourné vers des seconds rôles de petits gentils.
Ce que l’on aime : On a tous rêver d’avoir un pote comme Sirius Black.
Le truc en plus : Dans le film La Taupe, de Thomas Alfredson. Gary Oldman a la même dégaine que Jim Gordon, la moustache en moins.
Le perso : Policier aux grosses lunettes et à la petite moustache de la ville de Gotham, Jim Gordon est assez pessimiste concernant le sort de la cité.Néanmoins, l’arrivée de Batman redonne espoir à l’inspecteur qui apporte une aide précieuse au justicier.
L’acteur : Gary Oldman, qui après avoir endossé des premiers rôles de grands méchants (le Dracula de Coppola, c’était lui), s’est tourné vers des seconds rôles de petits gentils.
Ce que l’on aime : On a tous rêver d’avoir un pote comme Sirius Black.
Le truc en plus : Dans le film La Taupe, de Thomas Alfredson. Gary Oldman a la même dégaine que Jim Gordon, la moustache en moins.
10ROBIN DANS BATMAN ET ROBIN
Le perso : Dick Grayson – jeune trapéziste hors –pair – apparait dans le film Batman Forever (1995), sous les traits du super héros Robin. On a le droit à une suite en 1997 où il joue les premiers rôles.
L’acteur : Chris O’Dennell, acteur qu’on n’a pas revu depuis les années 1990, et qui pourrait être l’équivalent pour les années 2000 de Chris Evans, aussi spécialiste des rôles de super-héros pourris.
Ce que l’on aime : Les petites allusions qui nous amène à penser que Robin éprouve bien plus que de l’amitié pour Batman (joué par Georges Clooney).
Le truc en plus : L’adaptation de Joël Schumacher fut vivement critiquée par les fans qui reprochèrent au réalisateur, une trop grande légèreté et un manque de fidélité envers le comic book. Ah oui et aussi, les allusions homosexuelles vis-à-vis de Batman et Robin, ça ne passait pas trop à l’époque; Batman, ce n’est pas Green Lantern…
Le perso : Dick Grayson – jeune trapéziste hors –pair – apparait dans le film Batman Forever (1995), sous les traits du super héros Robin. On a le droit à une suite en 1997 où il joue les premiers rôles.
L’acteur : Chris O’Dennell, acteur qu’on n’a pas revu depuis les années 1990, et qui pourrait être l’équivalent pour les années 2000 de Chris Evans, aussi spécialiste des rôles de super-héros pourris.
Ce que l’on aime : Les petites allusions qui nous amène à penser que Robin éprouve bien plus que de l’amitié pour Batman (joué par Georges Clooney).
Le truc en plus : L’adaptation de Joël Schumacher fut vivement critiquée par les fans qui reprochèrent au réalisateur, une trop grande légèreté et un manque de fidélité envers le comic book. Ah oui et aussi, les allusions homosexuelles vis-à-vis de Batman et Robin, ça ne passait pas trop à l’époque; Batman, ce n’est pas Green Lantern…
[PEUT-ÊTRE PAS LE MEILLEUR BATMAN DE LA SAGA]
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