Une langue perdue bouleverse le savoir acquis.

Dans le bassin de la culture Mochica, on avait déjà fait des découvertes majeures sur la culture de Caral, le site archéologique le plus ancien des Amériques. Les découvertes de la tombe du Señor de Sipan puis de la dame de Cao, et le travail d'archéologues péruviens, américains et français ont bouleversé les connaissances aujourd'hui réputées acquises.



Au XVII° siècle, des espagnols ont consigné sur un manuscrit la traduction, en chiffres arabes que nous utilisons tous les jours (traduits en espagnol), la phonétique de cette langue perdue.

La cité de Caral est peut être même le "prototype" de la première cité, il y a des milliers d'années. La cité primordiale d'une culture riche. La langue a t'elle un rapport avec les cultures Mochicas ou Chimus qui se sont succédées ? Ils savaient compter alors que les incas n'utilisaient que des qipus, dont on a déjà prouvé l'existence chez les Mochicas des milliers d'années avant.

Toujours non résolu, le mystère de l'écriture perdue des incas, la qelqa. Un mot existe en quechua signifiant le mot écriture. Mais l'on n'en a pas encore apporté la preuve. Des théories affirment que les qipus, cordelettes à noeuds, permettaient de compter et de transmettre des messages, une forme d'écriture en quelque sorte.



Les pré incas savaient compter dans une langue aujourd'hui perdue


Obiwi




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