Une terre vierge inconnue

Une équipe de scientifiques britanniques, effectuant une
recherche à l’aide du logiciel Google Earth, constata
l’existence d’une zone de verdure apparemment
inexplorée dans une région de montagnes située en
Afrique du sud. Un groupe international de chercheurs organisa une
expédition en cette région du Mozambique, difficilement
accessible à l’homme pendant des années et qui ne
figure sur aucune carte. Ils y trouvèrent plusieurs
variétés de reptiles, d’oiseaux, un singe, un
caméléon nain ainsi que des papillons et
orchidées, dont certaines non encore répertoriées.

Le recours à de simples ordinateurs permit de détecter
l’emplacement d’une forêt de 1800 mètres
carrés où se dresse un sommet de 1,700 mètres. La
guerre civile qui dévasta le pays de 1975 à 1992, tint
à l’écart de cette région les habitants qui
préférèrent s’en éloigner, craignant
les conflits armés. Ces terres boisées demeurèrent
exemptes de toute activité humaine, bénéficiant
ainsi étrangement des effets de ces hostilités.


Cette région constitue selon toute apparence, la plus grande
forêt en moyenne altitude du sud du continent africain.
Vingt-huit chercheurs et 70 porteurs établirent leur campement
pour une durée de quatre semaines, allant à la
découverte de ce monde inexploré.



Les chercheurs espèrent désormais identifier, parmi
les éléments capturés lors de cette
expédition, d’autres espèces inconnues à ce
jour. Les spécimens rapportés ainsi que les nombreuses
photographies constitueront des preuves de la présence en cette
jungle de nouvelles variétés dont nul ne soupçonne
encore l’existence. Les scientifiques procèdent
présentement à un travail minutieux
d’identification, espérant voir leurs efforts
récompensés.


Ce groupe de chercheurs croit possible de déceler à
l’avenir de nouvelles terres demeurées intactes
grâce à l’utilisation des satellites. Ils
rêvent peut-être secrètement du jour où ils
pourront identifier à distance, ces spécimens objets de
leur étude, grâce à des images toujours plus
précises retransmises grâce à Google Earth.



Sources: Futura-Science, Actualité.Lycos.fr

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