Le sperme comme antidépresseur.

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Les anciens ont toujours raison, souvenez-vous de l'adage que les anciens utilisés en disant c'est une mal…


On parle ici de celui des femmes (l’étude n’a pas porté sur les hommes ; ça sera pour une prochaine fois…). Cette étude conclut sans ambages que le fait d’avoir des relations sexuelles non protégées ou du sexe oral (non protégé) est bon à la fois pour la santé physique que mentale. La raison proviendrait du fait que le sperme contient des substances chimiques qui altèrent l’humeur. 
On a demandé à des femmes volontaires de répondre un questionnaire (anonyme) portant sur différents aspects de leurs habitudes sexuelles ainsi qu’à un test standard qui mesure les éventuels symptômes dépressifs. On a aussi de manière indirecte mesurée le plasma séminal qui circule dans le corps de la femme en se renseignant sur la récence de la dernière relation sexuelle sans préservatif. 

Les conclusions étaient que les femmes qui montraient le moins de symptômes dépressifs étaient celles qui n’avaient jamais ou presque utilisé de préservatif par rapport tant aux femmes qui utilisaient des préservatifs que celles qui n’avaient pas eu de relations sexuelles depuis un bail. Notons au passage que les femmes qui étaient très actives sexuellement, mais qui utilisaient des préservatifs étaient aussi dépressives (en moyenne) que les femmes qui étaient plongées dans l’abstinence totale. 

Des résultats antérieurs avaient déjà montré que les femmes qui étaient « exposées à la semence masculine » avaient de meilleurs résultats de concentration et de performances cognitives générales ainsi que le corps de la femme est capable de faire la distinction entre la semence « habituelle » (partenaire de vie) d’une semence « étrangère ». Cette distinction serait très utile d’un point de vue évolutionniste (reproduction) : la semence étrangère est plus facilement rejetée pour plutôt avoir une descendance avec l' « élu ». 

Seule contrepartie fâcheuse : les femmes qui viennent de rompre avec un compagnon avec lequel elles avaient des rapports non protégés étaient plus susceptibles de tomber en profonde dépression.
http://www.sur-la-toile.com

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