Laurence Ferrari souhaite casser davantage le rythme du journal.

Nice matin publiait dimanche une interview de Laurence Ferrari, par Lionel Paoli. La journaliste succède ce soir à Patrick Poivre d'Arvor au 20 heures de TF1.




Elle veut remettre les journalistes au centre du processus de décision. C'est pour cela d'ailleurs, que symboliquement elle a décidé d'installer son bureau au coeur de la rédaction.




Elle souhaite casser davantage le rythme du journal, alterner dossiers de 3 / 4 minutes et sujets courts.




"On va procéder par petites touches...sans faire de révolution : l'ADN du 20 heures est inamovible. Il existait avant moi, il existera encore après".

La journaliste promet la même liberté de ton qu'elle avait sur C+. "On ne m'aurait pas fait venir pour m'aseptiser. Ce serait contre-productif ! L'impertinence fait partie de ma nature". Au 20 heures, ça se traduira davantage dans les interviews que lors des lancements de sujets.




Lors de l'entretien, Laurence Ferrari se plaint de la pression des paparazzis qui ne cesse de croître. Et ça vire au harcèlement, juge-t-elle, ajoutant qu'elle continuera à se battre avec la plus grande fermeté pour faire respecter sa vie privée...












A propos de l'éviciton de PPDA, elle juge que les choses sont simples : le poste était vacant, on lui a proposé et elle a accepté. "Des tas de salariés, dans toutes les professions, se sont trouvés dans la même situaiton que moi, j'ai pesé le pour et le contre..." Laurence Ferrari précise qu'elle n'avait pas fait acte de candidature pour le 20 heures, ce sont les dirigeants de TF1 qui l'ont contactée alors qu'elle était en train de renégocier son contrat sur Canal+.

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